Briser en nous la mer gelée
Erik Orsenna
Le 10 octobre 2011, Suzanne et Gabriel divorcent. Mais une phrase glissée par la juge vient semer le trouble : cela m’a tout l’air de ressembler à de l’amour. Suzanne et Gabriel ont-ils tort de renoncer si vite ?
Comment aimer quand on a trop vécu ? Le 10 octobre 2011, quatre ans après leur coup de foudre, Suzanne et Gabriel divorcent. Mais une phrase glissée par la juge vient semer le trouble : « cela m’a tout l’air de ressembler à de l’amour ». Suzanne et Gabriel ont-ils tort de renoncer si vite ? Sauront-ils faire renaître leur amour de ses cendres ?
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Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 207
- Largeur (mm)
- 142
- Profondeur (mm)
- 24
- Auteur
- Erik Orsenna
- Nombre de pages
- 464
- Poids (Kg)
- 0.455
- Date de sortie nationale
- 03/01/2020
- Editeur
- GALLIMARD
- Exclusivité
- Non
À propos de l’auteur
Erik Orsenna
Érik Arnoult Orsenna est né à Paris en 1947. Après des études de droit et d'économie, il enseigne l'économie financière à l'Université Paris I et à l'École Normale Supérieure tout en étant directeur littéraire des éditions Ramsay.
En 1981, il est appelé au cabinet du ministre de la Coopération. En 1983, il est conseiller culturel du Président de la République. De janvier 1990 à décembre 1992, il est conseiller auprès de Roland Dumas, ministre des Affaires étrangères.
Au titre de ces activités économiques et financières, il publie de nombreux ouvrages techniques dont Espace national et déséquilibre monétaire.
Parallèlement, sous le nom d'Érik Orsenna, il publie des romans :Loyola's Blues
La Vie comme à Lausanne (Prix Roger Nimier 1978)
Une Comédie française
L'Exposition coloniale (Prix Goncourt 1988)
Grand amour
Deux étés
Longtemps
Madame BâIl est également l'auteur de Besoin d'Afrique (écrit en collaboration avec Éric Fottorino et Christophe Guillemin) et de Villes d'eaux (en collaboration avec Jean-Marc Terrasse).
Les lecteurs le plébiscitent, mais les institutions l'honorent : le 17 juin 1998, Érik Orsenna est élu à l'Académie française. Et en juillet 2000, il devient Conseiller d'État.
Pendant cette période, il consacre un ouvrage à André Le Nôtre Portrait d'un homme heureux (2000), et à l'apprentissage de la langue française : La grammaire est une chanson douce (2001), qui fut un immense succès. La suite Les Chevaliers du subjonctif arrive en 2004. Enfin, il dresse un Portrait du Golf Stream en 2005, une enquête sur l'état du célèbre courant et Voyage au pays du coton en 2006.
En plus de l'écriture, il voue une passion aux voyages, à la musique et à la mer (il préside d'ailleurs le Centre international de la Mer, à Rochefort).
En 1981, il est appelé au cabinet du ministre de la Coopération. En 1983, il est conseiller culturel du Président de la République. De janvier 1990 à décembre 1992, il est conseiller auprès de Roland Dumas, ministre des Affaires étrangères.
Au titre de ces activités économiques et financières, il publie de nombreux ouvrages techniques dont Espace national et déséquilibre monétaire.
Parallèlement, sous le nom d'Érik Orsenna, il publie des romans :Loyola's Blues
La Vie comme à Lausanne (Prix Roger Nimier 1978)
Une Comédie française
L'Exposition coloniale (Prix Goncourt 1988)
Grand amour
Deux étés
Longtemps
Madame BâIl est également l'auteur de Besoin d'Afrique (écrit en collaboration avec Éric Fottorino et Christophe Guillemin) et de Villes d'eaux (en collaboration avec Jean-Marc Terrasse).
Les lecteurs le plébiscitent, mais les institutions l'honorent : le 17 juin 1998, Érik Orsenna est élu à l'Académie française. Et en juillet 2000, il devient Conseiller d'État.
Pendant cette période, il consacre un ouvrage à André Le Nôtre Portrait d'un homme heureux (2000), et à l'apprentissage de la langue française : La grammaire est une chanson douce (2001), qui fut un immense succès. La suite Les Chevaliers du subjonctif arrive en 2004. Enfin, il dresse un Portrait du Golf Stream en 2005, une enquête sur l'état du célèbre courant et Voyage au pays du coton en 2006.
En plus de l'écriture, il voue une passion aux voyages, à la musique et à la mer (il préside d'ailleurs le Centre international de la Mer, à Rochefort).
Le 10 octobre 2011, Suzanne et Gabriel divorcent. Mais une phrase glissée par la juge vient semer le trouble : cela m’a tout l’air de ressembler à de l’amour. Suzanne et Gabriel ont-ils tort de renoncer si vite ?