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La mère morte
Blandine de Caunes
À quelques mois d’intervalle, Blandine de Caunes perd sa mère de 96 ans, l’icône féministe Benoîte Groult, et sa fille Violette, 36 ans, fauchée dans un accident de voiture. De ce double deuil, l’auteure dit la souffrance, mais aussi la force du lien familial.
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À quelques mois d’intervalle, Blandine de Caunes perd sa mère de 96 ans, l’icône féministe Benoîte Groult, et sa fille Violette, 36 ans, fauchée dans un accident de voiture. De la chute lente de la première, atteinte de la maladie d’Alzheimer, à la disparition soudaine de la seconde, l’auteure dit la souffrance, avec pudeur et simplicité, mais aussi la force du lien de plusieurs générations de femmes unies par l’amour et le goût de la liberté.
« C’est émouvant, violent parfois, et, dans sa simplicité de ton, d’une puissance assez rare. C’est aussi, face à la mort, un bel hommage à cette vie dont Benoîte tenait qu’elle devait être la plus forte. » Marie-Françoise Leclère, Le Point
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Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 217
- Largeur (mm)
- 135
- Profondeur (mm)
- 30
- Auteur
- Blandine de Caunes
- Nombre de pages
- 304
- Poids (Kg)
- 0.41
- Editeur
- STOCK
- Exclusivité
- Non
À quelques mois d’intervalle, Blandine de Caunes perd sa mère de 96 ans, l’icône féministe Benoîte Groult, et sa fille Violette, 36 ans, fauchée dans un accident de voiture. De ce double deuil, l’auteure dit la souffrance, mais aussi la force du lien familial.