Perdition
Alexis Arend
Lus et approuvés par nos lecteurs !Avez-vous l’âme d’un découvreur de talents ? C’est l’aventure à laquelle vous invite Nouvelles Plumes chaque saison : découvrir les futurs grands noms de la littérature, repérés par un comité de lecteurs passionnés. Comme eux, laissez-vous surprendre et séduire par ces romans publiés en avant-première au Club ! Cette saison, coup de projecteur sur Alexi Arend, une révélation à laquelle on promet un bel avenir en librairie. Le jeune auteur nous dit tout de sa virée sur la mythique route 66, un roman noir au suspense tendu.- Pourquoi avoir choisi la route 66 comme décor de votre roman ?J’ai toujours été fasciné par les grands espaces américains, et la route 66 incarne pour beaucoup tout un pan de l’histoire de ce pays. La « mother road » est un véritable mythe qui invite au rêve. C’est un décor qui me tentait depuis longtemps, et nul doute qu’un autre roman à venir s’y déroulera également.- Est-il jubilatoire d’écrire un livre dont le héros est un vrai méchant, tout sauf politiquement correct ? Oh que oui, tout à fait ! J’avais même tendance à penser, en écrivant Perdition, que Denton Foley est un peu le personnage que tout le monde rêverait d’être si on s’autorisait tout. Sans scrupules, sans complexes, sans retenue. Chacun de nous a un peu de Denton en lui et, en dépit de son caractère détestable, c’est également un personnage très attachant dont on finit par apprécier les frasques, ce qui fait de lui l’anti-héros idéal. - À travers sa galerie de personnages, votre roman interroge les notions de bien et de mal…L’équilibre fragile entre le bien et le mal, ce voile ténu qui les sépare, est en effet un thème qui m’est cher, et que l’on retrouve dans tous mes romans. J’aime faire en sorte qu’en refermant un de mes livres, le lecteur ait une impression persistante, qu’un peu de l’histoire reste en lui. - Êtes-vous aussi un lecteur de suspenses ?Honnêtement, non, pas du tout. Je dois même avouer n’avoir jamais lu aucun thriller, ni aucun roman policier depuis les quelques Agatha Christie de mon adolescence. Je suis plutôt amateur d’auteurs du passé. Leurs histoires sont comme une carte postale. J’ai toujours considéré John Steinbeck comme le « Robert Doisneau » de la littérature, tant ses récits sont présentés comme des instantanés de son époque, des portes ouvertes sur un autre temps. Quel plus beau voyage que celui-ci ?
Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 227
- Largeur (mm)
- 143
- Profondeur (mm)
- 34
- Auteur
- Alexis Arend
- Reliure
- Brochée
- Collection Club
- Nouvelles Plumes Poche
- Nombre de pages
- 336
- Poids (Kg)
- 0.493
- Editeur
- NOUVELLES PLUMES
- Exclusivité
- Non