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Le temps des convoitises

Le temps des convoitises

Frédérick d'Onaglia

Passions en terres de Provence
1977. Jeune journaliste, Claire Césaire est de retour dans les Alpilles, où tous s’affrontent autour d’un projet de lotissement, les Cygalines. Une saga romanesque passionnante, entre scandale financier, bataille électorale et tourments de l’amour.
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1977. Jeune journaliste de retour dans les Alpilles, Claire Césaire se retrouve au premier plan de la rivalité qui oppose son rédacteur en chef à Alexis Bastide. Cet homme d’affaires est à la tête d’un projet de lotissement, les Cygalines, dont le principal opposant n’est autre que… le père de Claire. Entre scandale financier, bataille électorale et tourments de l’amour, une saga romanesque passionnante, avec en écrin de choix les beautés de la Provence.

Guillemet Ce roman mêle enquête et amour : il est agréable de suivre l’un et l’autre tout au long du livre ! C’est une belle plongée dans un passé pas si lointain où la technologie n’avait pas encore remplacé les vrais échanges humains.Aurélie

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
227
Largeur (mm)
143
Profondeur (mm)
33
Auteur
Frédérick d'Onaglia
Type de livre
Noir
Reliure
Brochée
Nombre de pages
336
Poids (Kg)
0.476
Editeur
PRESSES DE LA CITE
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Rencontre exclusive

Il y a des auteurs qu'on publie avec une émotion un peu particulière. C'est le cas de Frédérick d'Onaglia que l'on accompagne avec le même enthousiasme depuis des années. Et c'est un bonheur de l'écouter parler de son dernier roman, Le temps des convoitises.

Comment décririez-vous Claire, votre héroïne ?

C’est un personnage comme je les aime, un être blessé qui a su transformer ses faiblesses en force, quelqu’un de courageux qui va au bout de ce qu’elle entreprend sur le plan personnel ou professionnel. Parfois, elle se trompe. Mais on ne lui en veut pas car ses failles la rendent plus attachante encore. Claire, c’est aussi pour moi l’occasion d’explorer la différence d’âge dans un couple, une vraie richesse à mon sens.

La Provence ne cesse-t-elle jamais de vous inspirer ?

Chaque fois que je crois en avoir fait le tour, je découvre d’autres lieux, d’autres personnes aussi passionnantes que passionnées avec de nouvelles histoires. Tout naturellement, j’ai envie de les partager avec mes lecteurs. La Provence est une terre riche de légendes et de contrastes. Elle dévoile tant de visages pour qui sait l’appréhender, tour à tour cajoleuse ou excessive. C’est une source de création inépuisable.

Pourquoi avoir choisi de redonner vie à d’anciens personnages dans ce roman ?

Ce projet me tenait à cœur depuis longtemps car il me semblait que certains personnages avaient encore de nombreuses choses à dire. En tant qu’auteur, cela permet d’explorer d’autres facettes de leur personnalité, d’affirmer certains traits. Je suis toujours surpris par la direction qu’ils prennent, elle est parfois à des années-lumière de ce que j’imaginais. Je les laisse m’entraîner dans leurs aventures avec régal. Les retrouver est un peu comme revenir dans une maison de famille, auprès des siens, après une trop longue absence.

Ce livre est aussi une plongée dans les années 70, une manière de replonger en enfance ?

Avec délice… La nostalgie permet de retrouver ceux que l’on a perdus, une histoire, son histoire, qui en définitive s’avère partagée par beaucoup. Toutes générations confondues, nous gardons un souvenir de cette époque et à défaut, nous l’idéalisons. Les années soixante-dix ne laissent personne indifférent, sans doute parce qu’elles véhiculent une forme d’insouciance et de gravité mélangées. Les paillettes sur fond de crise économique sans précédent.

Comment avez-vous vécu le fait d’être privé du contact de vos lecteurs pendant plus d’un an ?

Les dédicaces en boutique France Loisirs m’ont cruellement manqué l’année dernière. Depuis près de vingt ans, je retrouve certaines lectrices, chaque année, fidèles au rendez-vous. Au fil du temps, nous avons appris à nous connaître et elles partagent volontiers leur retour de lecture. Leur avis m’est précieux. Du reste, il s’immisce souvent dans l’écriture du livre en cours. Après plus d’un an et demi de communication via les réseaux sociaux, je n’ai qu’une hâte, repartir en signature !

Pour finir, un mot pour vos lectrices et lecteurs de France Loisirs ?

Vous m’êtes fidèles depuis mon premier roman. C’est un immense cadeau et je vous en remercie. Grâce à vous, je suis un auteur comblé.