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Revue BOOKS N° 113 - Mai/Juin 2021
L’optimisme n’a pas bonne presse. On le soupçonne toujours d’être « béat ». Et, de fait, l’être humain s’intéresse en priorité aux mauvaises nouvelles. Ce n’est pas toujours un mal : le pessimisme a son utilité. Reste qu’il occulte souvent la réalité. Comme le montre le nouveau Books dans son dossier, nous avons bien des raisons de croire encore au progrès et, oui, osons le mot, d’être optimiste. Or, on ne nous parle que d’apocalypses à venir, en particulier d’un inévitable cataclysme écologique. Le climat se réchauffe, certes. Les conséquences sont pourtant exagérées. Nos sociétés sont surtout malades de la peur. Comment lutter contre ce goût mortifère du désastre ? Ce numéro peut vous y aider.
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L’optimisme n’a pas bonne presse. On le soupçonne toujours d’être « béat ». Et, de fait, l’être humain s’intéresse en priorité aux mauvaises nouvelles. Ce n’est pas toujours un mal : le pessimisme a son utilité. Reste qu’il occulte souvent la réalité. Comme le montre le nouveau Books dans son dossier, nous avons bien des raisons de croire encore au progrès et, oui, osons le mot, d’être optimiste. Or, on ne nous parle que d’apocalypses à venir, en particulier d’un inévitable cataclysme écologique. Le climat se réchauffe, certes. Les conséquences sont pourtant exagérées. Nos sociétés sont surtout malades de la peur. Comment lutter contre ce goût mortifère du désastre ? Ce numéro peut vous y aider.
10265035
Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 287
- Largeur (mm)
- 212
- Profondeur (mm)
- 7
- Poids (Kg)
- 0.212
- Exclusivité
- Non
L’optimisme n’a pas bonne presse. On le soupçonne toujours d’être « béat ». Et, de fait, l’être humain s’intéresse en priorité aux mauvaises nouvelles. Ce n’est pas toujours un mal : le pessimisme a son utilité. Reste qu’il occulte souvent la réalité. Comme le montre le nouveau Books dans son dossier, nous avons bien des raisons de croire encore au progrès et, oui, osons le mot, d’être optimiste. Or, on ne nous parle que d’apocalypses à venir, en particulier d’un inévitable cataclysme écologique. Le climat se réchauffe, certes. Les conséquences sont pourtant exagérées. Nos sociétés sont surtout malades de la peur. Comment lutter contre ce goût mortifère du désastre ? Ce numéro peut vous y aider.