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La prisonnière du diable

La prisonnière du diable

Mireille Calmel

1494. En Égypte, une roue de pierre tourne sans cesse, gardée par un Ordre secret. Lorsqu’elle s’immobilise, apparaît le nom de celui ou celle qui doit mourir. Près de Nice, Hersande, religieuse et herboriste, reçoit le message de l’Ordre et découvre l’être marqué par le Diable qui est condamné. Elle est alors incrédule…
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Guillemet “Histoire, romance, amour, suspense : rien ne manque à ce récit où le diable règne en maître. Un roman impossible à lâcher avant la fin. À lire absolument.” Michel Primault, Femme actuelle

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
227
Largeur (mm)
142
Profondeur (mm)
28
Auteur
Mireille Calmel
Type de livre
Couleur
Reliure
Brochée
Nombre de pages
416
Poids (Kg)
0.431
Date de sortie nationale
01/03/2020
Editeur
XO EDITIONS
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Née en 1964 dans le sud de la France, Mireille Calmel n’a que huit ans lorsqu’elle tombe gravement malade. Leucémie, myopathie, virus ? Aucun diagnostic n’est vérifié. Hospitalisée à Marseille, elle est inscrite dans une école de cours par correspondance et commence à écrire. Ce n'est qu'en 1979 qu’elle retrouve une vie pleinement normale.
En 1985, elle met au monde un petit Anaël et deux ans plus tard, sa fille Maëva. Elle écrit des chansons, des nouvelles, des pièces de théâtre – dont l’une, destinée aux adolescents, sera couronnée d’un prix –, organise un festival de théâtre, monte des spectacles sur différentes scènes à travers la France...
À partir de 1995, elle s’attelle à un roman qui deviendra Le lit d’Aliénor. Cinq ans après, il est édité par France Loisirs et devient un énorme best-seller. Elle poursuit avec Le Bal de louves en 2003, autre best-seller, puis avec Lady Pirate, Le Chant des sorcières, La Reine de Lumière et Aliénor, vendus à près de deux millions d'exemplaires et traduits dans plus de dix pays.
Mireille Calmel vit aujourd’hui en Aquitaine avec son mari et ses enfants.

MIREILLE CALMEL &amp, ANAËL TRAIN

Rencontre exclusive

À vingt ans d’intervalle, une mère et son ls se sont plongés dans l’univers merveilleux d’Aliénor d’Aquitaine et de son troubadour Jaufré Rudel. Mireille Calmel et Anaël Train nous dévoilent les secrets de cette belle aventure littéraire et familiale.

Comment est venue l’envie d’écrire Le Serment de Jaufré ?

AT : Au départ, lointaine de moi était l’idée d’écrire un roman. Ma mère était en train de rédiger la suite du Lit d’Aliénor et le besoin d’en savoir plus sur le personnage de Jaufré Rudel m’est venu. Comme s’il m’appelait, pourrait-on dire.

J’ai donc mené des recherches sur Jaufré, sa musique et ses chants surtout. J’ai demandé à ma mère si elle envisageait de nous raconter un jour l’origine de sa fabuleuse saga. Sa réponse m’a désespéré… Elle ne le souhaitait pas.

Alors, dans mon coin, sans le lui dire, j’ai commencé à construire cette histoire. Ce n’est que des mois plus tard, alors que j’avais écrit une soixantaine de pages, que je le lui ai dit, avec ce simple message : ``Je continue ou je m’arrête ?`` Je pense que sa réponse est évidente.


Pour vous, qu’a représenté Le Lit d’Aliénor en grandissant ?

AT : Il était le rêve de ma mère. Cette reconnaissance de son talent et de sa persévérance fut un cadeau extraordinaire. Elle est une maman exceptionnelle et enfi n elle était heureuse, épanouie, entière. Je l’ai compris au fil du temps.

Au départ, je l’avoue, cela ne m’intéressait pas vraiment. Mais l’on me questionnait dessus souvent, au lycée surtout, et je me sentais mal d’être incapable d’en dire quoi que ce soit. Alors j’ai ouvert le livre. Je me souviens de l’intérêt de ma mère à savoir ce que j’en pensais chaque soir alors que j’en lisais quelques pages avant de dormir.

Je la comprends tellement aujourd’hui…


Quelle émotion à voir ainsi votre ls poursuivre votre héritage ?

MC : C’est plus que de l’émotion. Aujourd’hui j’ai l’impression qu’il fait partie de cette aventure depuis le premier instant de sa conception. C’est un peu fou, je sais…mais il a 35 ans.

Comme moi quand j’ai publié Le lit d’Aliénor chez vous. À vingt ans tout juste d’intervalle. Je ne crois pas au hasard. Il est à sa place. Comme je continue d’être à la mienne. Alors croyez-moi. Ce n’est pas juste de la fierté de mère. C’est une explosion de lumière au fond de mon cœur.


Pourriez-vous envisager d’écrire un jour un livre à quatre mains ?

MC : Oui ! Oui ! Le jour où il m’appellera pour me dire : maman, j’ai fait un rêve bizarre… et où ce rêve fera écho à l’un des miens. Ce jour-là, je saurai que le moment est venu de me faire toute petite dans son ombre pour permettre à son écriture et à la mienne de n’en faire plus qu’une…

Cela arrivera. C’est sûr. Nous sommes tellement complices.
AT : Ma réponse sera courte et sans équivoque : OUI !


Que diriez-vous à de jeunes lecteurs qui n’ont pas connu le succès du Lit d’Aliénor, pour leur donner envie de découvrir vos deux romans ?

MC : ``Elle a ensorcelé deux rois. Serez-vous sa prochaine victime ?``, disiez-vous à vos adhérents il y a vingt ans.

Je me contenterai d’ajouter ceci : croisez le regard de Jaufré Rudel, celui de Loanna de Grimwald, celui d’Aliénor et préparez-vous à la plus grande des quêtes. Celle qui a défié le temps, mais aussi mon destin et celui de mon fils. Vous en sortirez plus fort, plus vivant. Vous en sortirez grandi.

À l’image de cette reine de légende et de tous ceux, d’hier ou d’aujourd’hui, qui ont croisé son chemin.