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La guerre les avait jetés là
Pierre Laville
La Comédie française dans le tourbillon de l’Occupation
Paris, hiver 1942. En ces temps troublés d’occupation allemande, la Comédie Française fait salle comble. Mais une fois le rideau baissé, vient le temps des choix : faut-il fermer les yeux, voire collaborer, ou entrer en résistance ? Une fresque magistrale.
Paris, hiver 1942. En ces temps troublés d’occupation allemande, la Comédie Française fait salle comble : le public se presse pour applaudir Marie Bell, la plus grande comédienne de son temps. Autour d’elle les grands esprits de l’époque s’affrontent. Car une fois le rideau baissé, vient le temps des choix : faut-il fermer les yeux, voire collaborer, ou entrer en résistance ? Une fresque magistrale où tout est vrai, ou presque.
Dans un Paris occupé, les spectateurs se pressent à la Comédie française. Vitrine culturelle de la France, le théâtre représente aussi une bulle d’oxygène pour les Parisiens. Si la scène reste un espace de liberté où le pouvoir intervient peu et où l’on admire les œuvres de Sartre, Claudel, Cocteau…, l’institution n’échappe pas aux dilemmes moraux de l’époque : comédiens Juifs exclus, position ambiguë vis-à-vis de Vichy…
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Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 28
- Largeur (mm)
- 155
- Profondeur (mm)
- 240
- Auteur
- Pierre Laville
- Type de livre
- Noir
- Reliure
- Brochée
- Nombre de pages
- 416
- Poids (Kg)
- 0.518
- Editeur
- ROBERT LAFFONT
- Format
- Grand format
- Exclusivité
- Non