Le Marchand de lumière

Le Marchand de lumière

Frédérick d'Onaglia

Un village sous emprise
En Provence, le paisible village de Fontvieille est bousculé dans sa quiétude par l’arrivée d’une communauté menée par une femme gourou charismatique Cathy, ancienne manager des Cigalines, va tout mettre en œuvre pour déjouer son emprise.
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22,00 €

En Provence, le paisible village de Fontvieille est bousculé dans sa quiétude par l’arrivée d’une communauté menée par une femme gourou charismatique qui a décidé de faire main basse sur la vallée. Cathy Espic, ancienne manager du parc d’attraction les Cigalines, dont le fiancé a rejoint la secte, va tout mettre en œuvre pour déjouer son emprise au risque de se mettre en danger et de se perdre elle-même.

Guillemet L’emprise et ses mécanismes de déconstruction est un sujet qui me tient à cœur depuis longtemps et je suis très heureux d’offrir aux lecteurs du Club, la primeur de cette nouvelle aventure sous le soleil de Provence. Cette histoire clôture l’épopée du parc des Cigalines entamé avec Le temps des convoitises et ouvre la voie à de nouveaux rebondissements qui je l’espère sauront vous séduire et peut-être vous émouvoir.

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
225
Largeur (mm)
140
Auteur
Frédérick d'Onaglia
Type de livre
Noir
Reliure
Brochée
Nombre de pages
318
Poids (Kg)
0.4
Editeur
PRESSES DE LA CITE
Format
Grand format
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Rencontre exclusive

Il y a des auteurs qu'on publie avec une émotion un peu particulière. C'est le cas de Frédérick d'Onaglia que l'on accompagne avec le même enthousiasme depuis des années. Et c'est un bonheur de l'écouter parler de son dernier roman, Le temps des convoitises.

Comment décririez-vous Claire, votre héroïne ?

C’est un personnage comme je les aime, un être blessé qui a su transformer ses faiblesses en force, quelqu’un de courageux qui va au bout de ce qu’elle entreprend sur le plan personnel ou professionnel. Parfois, elle se trompe. Mais on ne lui en veut pas car ses failles la rendent plus attachante encore. Claire, c’est aussi pour moi l’occasion d’explorer la différence d’âge dans un couple, une vraie richesse à mon sens.

La Provence ne cesse-t-elle jamais de vous inspirer ?

Chaque fois que je crois en avoir fait le tour, je découvre d’autres lieux, d’autres personnes aussi passionnantes que passionnées avec de nouvelles histoires. Tout naturellement, j’ai envie de les partager avec mes lecteurs. La Provence est une terre riche de légendes et de contrastes. Elle dévoile tant de visages pour qui sait l’appréhender, tour à tour cajoleuse ou excessive. C’est une source de création inépuisable.

Pourquoi avoir choisi de redonner vie à d’anciens personnages dans ce roman ?

Ce projet me tenait à cœur depuis longtemps car il me semblait que certains personnages avaient encore de nombreuses choses à dire. En tant qu’auteur, cela permet d’explorer d’autres facettes de leur personnalité, d’affirmer certains traits. Je suis toujours surpris par la direction qu’ils prennent, elle est parfois à des années-lumière de ce que j’imaginais. Je les laisse m’entraîner dans leurs aventures avec régal. Les retrouver est un peu comme revenir dans une maison de famille, auprès des siens, après une trop longue absence.

Ce livre est aussi une plongée dans les années 70, une manière de replonger en enfance ?

Avec délice… La nostalgie permet de retrouver ceux que l’on a perdus, une histoire, son histoire, qui en définitive s’avère partagée par beaucoup. Toutes générations confondues, nous gardons un souvenir de cette époque et à défaut, nous l’idéalisons. Les années soixante-dix ne laissent personne indifférent, sans doute parce qu’elles véhiculent une forme d’insouciance et de gravité mélangées. Les paillettes sur fond de crise économique sans précédent.

Comment avez-vous vécu le fait d’être privé du contact de vos lecteurs pendant plus d’un an ?

Les dédicaces en boutique France Loisirs m’ont cruellement manqué l’année dernière. Depuis près de vingt ans, je retrouve certaines lectrices, chaque année, fidèles au rendez-vous. Au fil du temps, nous avons appris à nous connaître et elles partagent volontiers leur retour de lecture. Leur avis m’est précieux. Du reste, il s’immisce souvent dans l’écriture du livre en cours. Après plus d’un an et demi de communication via les réseaux sociaux, je n’ai qu’une hâte, repartir en signature !

Pour finir, un mot pour vos lectrices et lecteurs de France Loisirs ?

Vous m’êtes fidèles depuis mon premier roman. C’est un immense cadeau et je vous en remercie. Grâce à vous, je suis un auteur comblé.