Gabriel Saint-Régent Tome 1

Gabriel Saint-Régent Tome 1

Laurent Le Baube

Une nouvelle saga dans le monde secret de l’espionnage

Quand l’équilibre des relations internationales est menacé au sein même de l’Unesco, le capitaine Gabriel Saint-Régent, agent du BSI, se rapproche de la mystérieuse Odélia, proche d’un kabbaliste et énergéticien soupçonné d’espionnage.

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19,90 €

Dans un insoupçonnable immeuble Hausmannien du 16e arrondissement se cache le BSI, Bureau Secret d’Intervention. Parmi ses plus brillants agents, le capitaine Gabriel Saint-Régent. Quand l’équilibre des relations internationales est menacé au sein même de l’Unesco, celui-ci se rapproche de la mystérieuse Odélia, proche de Daniel Oberstein, un kabbaliste et énergéticien soupçonné d’utiliser des colloques pour dissimuler de l’espionnage.

Guillemet

En berne depuis la fin de la guerre froide, le roman d’espionnage retrouve des couleurs depuis quelques années. L’avènement du numérique mais surtout le contexte international et les nombreuses tensions géopolitiques auxquelles le monde doit faire face, notamment la guerre en Ukraine, ont relancé la pertinence du genre qui séduit un nouveau public. Et la série de Gabriel Saint-Régent le prouve, les Français ne sont pas en reste !

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
225
Largeur (mm)
140
Auteur
Laurent Le Baube
Type de livre
Noir
Reliure
Brochée
Nombre de pages
318
Poids (Kg)
0.349
Editeur
HERACLES
Format
Grand format
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Laurent le BAUBE, né en 1970, ancien cadre dirigeant dans l’industrie du transport & de la logistique, sportif, père de trois enfants, vit à Bordeaux. Il accomplit enfin son désir d’écriture par ce premier roman, Témoignage Invisible.

   

Interview de Laurent le Baube – Gabriel Saint-Régent

  

D’où vient l’envie d’écrire une série d’espionnage ? 

L’envie est née d’une fascination pour les zones de l’ombre, là où se nouent les véritables enjeux de notre époque. Le roman d’espionnage permet de raconter le dessous des cartes, là où l’histoire s’écrit souvent sans témoin. C’est aussi un genre propice à explorer la tension entre devoir et morale, entre loyauté et solitude. Les sujets à traiter sont vastes et infinis. J’ai eu envie de créer une saga contemporaine, ancrée dans notre monde, avec un héros patriote, républicain, humain, et prêt à se perdre pour la France. Il est possible que l’envie soit aussi issue durant mon service national, année pendant laquelle j’ai rencontré un officier de la D.G.S.E…

 

Écrire un roman d’espionnage en 2025, ça change quoi ?

Tout ! Aujourd’hui, l’espionnage ne se joue plus seulement sur le terrain : il est numérique, économique, environnemental, culturel. Les menaces sont multiples, les frontières mouvantes. Le romancier doit capter cette complexité pour la rendre lisible et captivante. En 2025, un espion pourrait désamorcer une guerre avec une ligne de code ou en exfiltrant un scientifique clé. Le genre a évolué depuis la saga française « S.A.S », et la lectrice/le lecteur encore plus ! 

 

Y a-t-il un espionnage « à la française » ? 

Je pense oui ! L’espionnage à la française se distingue par son attachement aux valeurs républicaines, son goût du secret bien gardé, et une certaine élégance dans l’action. Moins spectaculaire que l’américain, plus structuré que l’anglo-saxon, il cultive une finesse d’approche, une intelligence stratégique et une fidélité à la souveraineté nationale. C’est ce que j’ai voulu transmettre à travers Gabriel Saint-Régent et son agence de rattachement « fantôme », le Bureau Secret d’Intervention.

 

Quelles qualités font de Gabriel Saint-Régent un bon espion ?

Pour moi, son créateur, il allie rigueur, audace et une loyauté indéfectible. Il est animé par une haute idée de la France, mais reste profondément humain. Il doute, il aime, il est parfois fort, parfois indécis, il souffre, il vacille, mais il ne renonce jamais. Sa plus grande force, c’est peut-être son insolence : celle de ceux qui réussissent là où les autres échouent, parce qu’ils osent là où les autres hésitent.

 

Avez-vous rencontré des intervenants de ce milieu pour mieux vous imprégner de leur univers ?

Affirmatif ! Et je continue d’en rencontrer. J’ai eu la chance de croiser des actifs, d’anciens membres des services, des spécialistes du renseignement et des diplomates. Tous m’ont offert une part de réalité que j’ai ensuite transformée en matière romanesque. Mais comme tout bon agent, je protège mes sources…

 

Quel plaisir particulier y a-t-il à écrire une série plutôt qu’un unitaire ?

Un réel plaisir immense… La série permet de construire une légende. On voit le personnage évoluer, découvrir ses faiblesses,  gagner en densité, se heurter à ses propres limites. Elle crée un lien puissant avec le lecteur, qui revient non seulement pour les intrigues, mais pour suivre un destin. Chaque opus est une mission bien distincte, mais la saga, elle, est un engagement sur le long terme. Un autre élément fort, c’est que dans cette série, les lectrices/lecteurs découvrent aussi une véritable « famille » autour du héros qui évolue elle aussi. Cet ensemble de personnages m’anime au fur et à mesure des opus…

 

Faire découvrir vos romans en avant-première aux lecteurs de France Loisirs représente-t-il quelque chose de particulier pour vous ?

C’est un honneur. France Loisirs fait partie de ces institutions qui ont donné le goût de lire à des générations entières. Je garde de grands souvenirs lorsque j’étais enfant, quand des livres arrivaient chaque mois. Aujourd’hui, je fais partie des auteurs qui vont entrer dans des foyers! Offrir ma saga de romans d’espionnage en avant-première à ses lecteurs, c’est comme ouvrir une porte secrète sur l’univers G.S.R : des missions confiées à un lectorat curieux, exigeant, que je suis fier d’embarquer dans cette aventure. De plus, c’est la seule saga de romans d’espionnage 100% française alors c’est encore plus particulier pour les abonnés de la découvrir en avant-première…