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L'orpheline de Manhattan

L'orpheline de Manhattan

Marie-Bernadette Dupuy

New York, 1886. Élisabeth, 6 ans, tout juste arrivée de France, devient brutalement orpheline. À Central Park, elle se fait renverser par la calèche d’un riche couple qui décide de l’adopter. Mais 10 ans plus tard, la jeune femme découvre le secret de ses origines…
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Rupture de stock

1886. À 6 ans, Élisabeth embarque avec ses parents pour New York. Loin de la Charente, leur rêve américain tourne rapidement au cauchemar : sa mère meurt en couches pendant la traversée et son père est mortellement agressé à peine arrivé. Après une nuit d’errance à Central Park, la petite fille se fait renverser par la calèche d’un riche couple en mal d’enfant qui s’empresse de l’adopter. Élisabeth grandit choyée, mais dix ans plus tard la vérité resurgit. La vie de l’adolescente va s’en trouver bouleversée…

Guillemet Mot de l'auteurUn soir d’été à New York, alors que depuis le pont de Brooklyn, je regardais s’allumer et briller les millions de lumières de la formidable cité, j’ai été frappée par l’idée d’un roman qui se déroulerait en partie dans la perpétuelle rumeur de cette ville. Lors de mes promenades matinales dans Central Park, je voyais l’image d’une fillette endormie sur un banc. C’est sur les riches et mystérieuses terres de Guerville, en Charente, que j’ai fait naître la petite Élisabeth. Je vous invite à votre tour à suivre sa destinée tumultueuse… Je vous souhaite une belle lecture,Avec toute mon affection,Marie-Bernadette DUPUY

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
207
Largeur (mm)
137
Profondeur (mm)
35
Auteur
Marie-Bernadette Dupuy
Type de livre
Noir
Nombre de pages
612
Poids (Kg)
0.56
Date de sortie nationale
27/02/2019
Editeur
CALMANN LEVY
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Entrée en littérature à la vingtaine, dans les années 1980, Marie-Bernadette Dupuy a depuis publié des dizaines de livres, avec une prédisposition particulière pour le roman familial.

Débutée avec les têtes couronnées de Femmes impériales, son œuvre a parcouru aussi bien le genre du thriller que des récits régionaux dans sa terre fétiche, la Charente.

Mais c’est bien par de grandes sagas, désormais traduites dans de nombreux pays, qu’elle a conquis le cœur de millions de lectrices et de lecteurs.

Des séries comme Val-Jalbert, au Québec, Angélina, dans le sud de la France, ou L’orpheline de Manhattan nous plongent aux temps jadis, et mêlent romance, drame et histoire avec beaucoup d’harmonie. Marie-Bernadette Dupuy y a trouvé une forme adaptée à son sens du romanesque, ici employé pour mieux raconter des destins au long cours.
Parmi ses romans, citons :

L'Orpheline du Bois des Loups

Le Chant de l'océan

Le Refuge aux roses

Le Val de l'espoir

Le Moulin du Loup (en 6 tomes)

Le Chemin des falaises

La Vallée des Eaux Claires

Les Occupants du domaine

L'Enfant des neiges (en 6 tomes)

Les Marionnettes du destin

Angelina

Rencontre avec Marie-Bernadette Dupuy

Confidences d'auteure

En 2020, Marie-Bernadette Dupuy est entrée dans le top 10 des écrivains français les plus lus. Quoi de plus naturel donc que de lui demander quelques astuces et secrets sur sa façon d’inventer et d’écrire. Rencontre en forme de leçon d’écriture…  

Si vous deviez faire l’autoportrait de l’auteure que vous êtes ?

Une personne réservée. Peut-être trop souvent plongée dans l’univers parallèle de mes romans. Je vis avec mes personnages que je considère comme des amis ou des enfants. Je suis parfois anxieuse en ce qui concerne mes projets et mes idées, sans doute par manque de confiance en soi. J’ai besoin d’être entourée par ma famille, dont l’affection m’est précieuse, quand je n’écris pas, bien sûr.


L’inspiration pour vous c’est…

d’abord rêver, puis imaginer une histoire, à la suite d’une promenade dans un lieu qui me séduit, comme la vallée des Eaux-Claires, près d’Angoulême, pour la série Le Moulin du loup. Je peux aussi baser mon intrigue sur des témoignages recueillis avec émotion ou sur des anecdotes historiques véridiques. La complexité des sentiments humains m’inspire également beaucoup.


L’angoisse de la page blanche, vous connaissez ?

Non, pas vraiment, car souvent je suis passionnée par mon texte et la vie de mes personnages, et je me laisse emporter par l’action que je dépeins. Alors tout me semble facile, mais il peut m’arriver d’être bloquée quelques heures à cause de scènes plus ardues à décrire. Je m’accorde une pause. Je prends l’air. Je vais marcher pour mieux rééchir au problème.


Sur quel support couchez-vous vos idées ?

Tout dépend de l’endroit où je suis. En voyage j’emporte un carnet sur lequel je peux noter mes idées. À la maison également, j’ai tendance à coucher sur le papier des indications de lieux, de régions ou d’événements anciens. Ensuite, je rassemble ces mots sur un dossier, dans mon ordinateur, cette fois.


Où écrivez-vous ?

Dans mon bureau, entourée de beaucoup de livres, dont des dictionnaires. Sa décoration a changé au fil du temps, avec des constantes comme les photos de mes enfants, de mes proches. Si je lève le nez, j’ai le plaisir de les voir autour de moi et je me sens heureuse. J’ai besoin de pouvoir m’enfermer dans ce cadre familier où je travaille durant des heures.


Quand écrivez-vous ?

J’écris surtout une partie de la nuit, sans doute pour être vraiment seule avec mon histoire et mes personnages. Tout est calme, silencieux, et ainsi je peux mieux m’évader du quotidien.


Un conseil pour ceux qui n’osent pas passer le pas ?

D’oser justement, si la passion d’écrire est plus forte que tout. Au fond, l’essentiel est de raconter une histoire avec un peu de simplicité et beaucoup d’énergie, pour la partager avec ceux qui aiment lire et y trouvent du bonheur.